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un peu d’histoire
ZENITH, au delà des montres
Les horloges électriques de ZENITH
Il faudra attendre la fin du 19e siècle pour que l’horlogerie électrique dépasse le stade expérimental et aborde finalement le stade industriel au début du 20e siècle. C’est entre les deux guerres mondiales que l’horlogerie électrique connaît son plein essor avec notamment le recours au courant faible qui, au plan de la sécurité, constitue un véritable progrès.
L’horlogerie électrique ouvre des perspectives très attendues telles que la suppression du remontage du ressort ou de la force motrice des poids. Elle offre surtout la précision en réseau de plusieurs pendules ou horloges qu’il fallait auparavant contrôler une par une.
– En second lieu, les horloges en réseaux horaires dont la marche est synchronisée avec une horloge mère. L’électricité joue alors le double rôle d’agent moteur et de distribution et synchronisation de l’heure ou de dispositifs de déclenchements de sonneries.
Ses recherches fondamentales sur l’électricité appliquée à l’horlogerie auront une importance particulière dans les orientations données à la production de pendulerie électrique par ZENITH qui devient rapidement le spécialiste de l’horlogerie à énergie électrique. Plusieurs brevets sont déposés en ce domaine par Charles Rosat en son nom propre dans les années 20 et 30 parfois en commun avec d’autres inventeurs dont Jakob Moser et Paul Reymond. Les inventions portent notamment sur des dispositifs de réglage des aiguilles, de remontage et de moteurs électriques. ,
Charles Rosat meurt prématurément le 17 août 1930 à l’âge de 56 ans en ayant eu le temps d’impulser à la marque des développements et des innovations qui marquent l’ensemble de la production qui va connaître un véritable envol dans la seconde décennie du vingtième siècle.
Tandis que se multiplient les fabrications de différents types d’horloges électriques, à ZENITH fait clairement le choix dès 1919, de fabriquer des horloges indépendantes à remontoir à moteur.
Un article de la Revue internationale de l’industrie du commerce et de l’agriculture fait le 5 septembre 1925 le point sur les innovations apportées par ZENITH dans le domaine de l’horlogerie électrique. L’article rappelle que jusqu’à cette période les horloges individuelles électriques présentent d’énormes inconvénients notamment dus aux alimentations par des éléments ou des batteries d’accumulateurs qu’il faut fréquemment remplacer ou recharger. En outre les techniques employées étaient peu accessibles aux horlogers rhabilleurs. L’intérêt de l’horloge ZENITH présentée en cette année 1925 et brevetée dans tous les pays sous le nom de « Patent Jamin-ZENITH » en 1922 est de s’affranchir de ces inconvénients. En effet, la nouvelle invention de la marque « consiste en un fil thermique relié à l’organe régulateur de l’horloge qui ouvre et ferme périodiquement le circuit suivant que le courant passe ou est interrompu. L’allongement et le raccourcissement du fil thermique sont employés pour imprimer au pendule les impulsions mécaniques. » Ici, l’impulsion n’est pas liée à la gravité, ni à un ressort, mais à un fil métallique très fin qui se dilate par chauffage lors du contact puis se rétracte en refroidissant à la rupture dudit contact
La nouvelle horloge est bon marché et présentée en version classique soit sous forme d’applique de salon en bois avec un cabinet en bois de 48 centimètres de haut sur 8 de profondeur et une largeur de 27 centimètres pour un poids de 4,5 kilos, soit sous forme d’horloge ronde de 2,3 kilos sans la réserve de marche qui pèse un kilo supplémentaire. ZENITH comme toujours propose des versions de luxe au cabinet décoré de cette horloge qui remporte très vite un vif succès tant dans les entreprises pour une installation dans les ateliers que dans les bureaux et chez les particuliers. ZENITH baptise son horloge Calora et la destine à être branchée sur le réseau de lumière électrique soit à courant alternatif, soit à courant continu protégé par une résistance qui absorbe les surtensions du secteur.
Un mode alternatif d’alimentation par batterie ou accumulateur reste possible pour des zones géographiques non desservies par le réseau électrique.
Evidemment le système s’affranchit de tout remontage manuel et sa simplicité la rend accesible à tous les horlogers. C’est par un transformateur qui abaisse à 3 volts la tension du courant alternatif que l’horloge est alimentée et un courant de 0,25 ampères suffit à réchauffer le fil électrique.
ZENITH propose son horloge sans ou avec réserve de marche de 50 heures où la pendule n’agit pasdirectement sur la minuterie mais sur le ressort de remontage qui actionne un échappement de précision bien compensé. La pendule redémarre lors du rétablissement du courant. La version ainsi équipée est utile pour les zones à forte fréquence d’interruptions de la distribution électrique. Le mouvement est sans entretien car le pendule agit directement sur le bras à ressort du mouvement. Un petit curseur placé sous la lentille du pendule permet un réglage fin à des fractions de seconde par jour.
La manufacture va multiplier les expériences et les modèles de pendules électriques dont elle devient rapidement l’un des plus grands spécialistes et fournisseurs y compris parfois pour d’autres manufactures horlogères qui en équipent leurs ateliers.
ZENITH devient rapidement une référence en matière d’horloges électriques avec un modèle à balancier pendulaire. Le pendule bat la seconde et règle par un échappement dit de « Graham » la marche d’un rouage tout a fait classique dont un poids est la force motrice.
Le moteur de remontage de cette horloge est de type « à induction dit de Ferraris ». Par l’intermédiaire d’un engrenage et d’une poulie, il remonte le poids en utilisant un câble sans fin de Huyghens. L’opération est interrompue en fin de course grâce à un frein automatique dont la fonction est d’immobiliser le disque tournant du moteur pour quelques instants.
Ce choix technologique dans lequel est préservé le recours à un échappement indépendant pour chaque horloge, pose à ZENITH le problème de la synchronisation de plusieurs horloges entre elles puisque chacune est par définition, dotée de son propre réglage. Les différences de marche de chaque horloge sont en principe quasi inévitables. Pourtant ZENITH va relever le défi en cherchant à unifier les marches des horloges par une remise à l’heure générale qui intervient une ou plusieurs fois dans la journée.
C’est là que tout l’ingéniosité des horlogers et concepteurs de la manufacture va une nouvelle fois s’exprimer. Dans un article publié en 1948, « La Suisse, terre d’élection de l’horlogerie électrique » et repris dans « L’horlogerie, une tradition Helvétique » René-P Guye explique que les ingénieurs de ZENITH ont mis au point en effet, un dispositif qui agit soit lors de l’interruption du courant d’alimentation provoquée à un instant déterminé, soit lors de la perception d’une impulsion de courant correctrice transmise par un fil pilote. Dans ce système les horloges indépendantes à contrôler sont reliées par un fil spécial soit à une horloge mère soit à un centre horaire de correction (qui émet un signal d’heure par exemple).
Le 10 mai 1940, les attaques allemandes sont concentrées sur les bases aériennes françaises et cette déferlante anéantit les forces aériennes de la France. Etampes accueille à l’époque un important centre d’instruction militaire dédié aux avions de chasse, le CIC. La base aérienne d’Etampes constitue alors une patrouille DAT ( Défense Aérienne du Territoire) avec des chasseurs et des moniteurs du CIC. L’unité est renforcée avec trois pilotes tchèques venus de Chartres et quatres pilotes polonais venus de Lyon. La nouvelle unité aérienne est dotée de deux type d’avions « chasseurs » : Des Morane 406 d’une part et des Bloch 151/152 d’autre part. Leurs missions sont de couvrir la région en cas d’alertes et d’agir en reconnaissance.
Le 3 juin 1940, la Luftwaffe lance une opération de grande envergure dite Opération Paula, ceci sur toutes les bases française de la région parisienne. Cette opération vise à asphyxier l’aviation française avant l’offensive allemande prévue sur la Picardie en l’occurrence essentiellement la Somme et l’Aisne. Dès le début d’après-midi, le terrain d’Etampes est la cible de tirs nourris et la patrouille surprise décolle au moment même où les bombes détruisent le terrain. Les systèmes d’alerte ont une fois de plus été défaillants et la débâcle n’est pas loin. Tandis qu’un avion français en feu et un autre touché moins significativement pareviennent à attérir, un troisième réussit à abattre un bombardier allemand. Les dégâts sur le terrain d’Etampes se résument à des avions détruits et des pistes faiblement endommagées.
A partir du 10 juin, la patrouille est dépêchée sur la base de Villacoublay qu’il vont protégeront. Cette journée sera marquée par de violentes attaques des avions français au dessus de Rennes.
Le 14 juin, la patrouille est contrainte de quitter face au raid allemand.
D’un diamètre global de 65 mm, elles sont équipées d’une trotteuse à 6 heures et d’un cadran noir mat disposant de chiffres arabes peints avec une matière incluant du radium pour en optimiser la lecture de nuit. Les aiguilles larges et également revêtues de radium confortent cette lisibilité instantanée indispensable en vol. Les pilotes, lors du check-up précédant le vol, remontent le mouvement en tournant la lunette crantée dans le sens des aiguilles d’une montre puis soulèvent celle-ci pour la mise à l’heure, en prenant soin de placer le repère situé sous le verre plat, de manière à identifier l’heure de départ afin de sécuriser, par un instrument supplémentaire, l’autonomie de leur appareil. D’une simplicité évidente, l’instrument a été conçu avec une infinie intelligence pour les pilotes qui peuvent le manipuler avec leurs gants et disposer instantanément d’une lecture fiable de l’heure. Les mouvements auraient pu être certifiés chronomètres tant ils sont précis mais pas question d’encombrer le cadran avec des mentions inutiles.
Au dos de la pièce horlogère, la mention ZENITH Type 20 est rappelée ainsi que le numéro de série et la date de fabrication. La plupart des pièces sont datées des mois d’octobre et novembre 1939 mais on en rencontre avec d’autres dates.
Ce sont ces montres de bord Type 20 qui équipaient les bombardiers français, les Morane 406 et les Bloch 151/152 ainsi que les Dewoitine de l’Armée de l’air française.
La manufacture ZENITH n’a pas fait que des montres, elle a aussi équipé des avions et autres aéronefs, de montres de bord bien sûr, mais aussi d’altimètres.
Le principe est de programmer différentes heures de sonnerie et sur le mémo papier d’indiquer à quoi celles-ci se rapportent.
Laissons la place aux images pour cette diabolique invention !
Il est possible de verser une réserve pour plusieurs jours ou même de rattraper un retard. Les pièces ainsi économisées forment petit à petit le montant de la prime (assurance vie) due pour le trimestre. L’encaisseur de la compagnie passe récolter les primes tous les trois mois au domicile de l’assuré.
Pour ZENITH qui fut un pionnier dans la réalisation de ces pendules, l’intérêt à long terme fut immense car la marque était présente dans tous les foyers et contribuait par ses pendules à conserver sa notoriété. Aucune autre grande manufacture n’a fait des pièces si efficaces à si bon prix et ce n’est donc pas un hasard si la marque est parfois dans les esprits associée à une accessibilité à un large public. ZENITH, avec ces pendules, a gravé les coeurs des anciens et ce sont au moins 2 générations qui les ont vues sur les cheminées des maisons des provinces françaises, suisses, italiennes et scandinaves.
Le Rondor reste aussi précis 90 ans après sa diffusion.
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Sommaire
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Historique[modifier | modifier le code]
- 1921 : fondation par Édouard Crouzet et quatre personnes pour réaliser des travaux de mécanique de précision.
- fin 1932 : 100 employés. Acquisition d’une usine à Bourg-lès-Valence.
- 1933 : crise dans le moulinage et chez Crouzet : 80 employés licenciés.
- 1934 : entrée chez Crouzet de Jean Jullien-Davin.
- 1935-1936 : Crouzet devient sous-traitant de Michelin.
- 1937 : Édouard Crouzet meurt brusquement, Jean Jullien-Davin reprend la direction de la société et développe progressivement la société Crouzet pour atteindre la taille conséquente qu’elle aura par la suite.
- 1938 : première orientation vers l’industrie de l’armement. Crouzet construit des machines outils spéciales pour les établissements militaires (La Cartoucherie de Valence).
- 1939 : la S.A.R.L Crouzet est créée, l’effectif est alors de 150 personnes.
- 1940-1941 : dans le contexte de guerre, l’affaire survit péniblement : 130 personnes licenciées.
- 1942 : Crouzet s’oriente aussi vers la mécanique horlogère, avec le concours d’une équipe de Lip (installée dans le sud de Valence) et construit une excellente machine mais se heurte à la concurrence d’une autre firme appuyée par les pouvoirs publics.
- août 1944 : l’atelier de l’avenue de l’École normale est détruit par l’explosion d’un wagon de nitroglycérine en gare de Valence. Le travail reprend rue Jean-Jacques Rousseau.
- 1945 : l’activité reprend, tournée vers la mécanique horlogère, les appareils de navigation aérienne et la machine outil. Graves difficultés financières du fait de ce rééquipement.
- 1948 : la vente à des organisations suisses, pour 40 millions de francs, d’un brevet pour nouvelle machine horlogère permet de payer les dettes et d’acquérir un matériel moderne. Réalisation des premiers équipements pour l’aéronautique.
- 1950-51 : fabrication des premiers éléments de navigation pour l’industrie aéronautique. Cette activité connaîtra un développement considérable à partir des années 1957 et 58. La fabrication de machines-outils passe, dans le même temps de 17 à 6 %. Le chiffre d’affaires approche les 7,5 millions de Francs.
- 1955 : première diversification géographique avec la création d’une filiale à l’étranger à Milan, (Italie).
- 1960 : construction d’une usine moderne sur le site actuel à Valence, route d’Alixan, Crouzet emploie alors plus de 2 000 personnes.
- 1964 : l’effectif est de 2 153 personnes, dont 1 000 pour la division « Aéro-spatial ». l’aéronautique représente 44 % du chiffre d’affaires (25 % en 1960), alors que l’horlogerie pèse 49 % (58 % en 1960).
- 1966 : une deuxième division est créée : « les composants d’automatismes ». Crouzet devient une société anonyme, sans appel à des capitaux étrangers. L’année suivante les effectifs montent à 4 238 salariés.
- 1969 : Les actions Crouzet sont introduites en bourse avec grand succès.
- 1974 : Le Groupe Crouzet, avec ses filiales en France et à l’étranger, emploie 6 275 personnes et son chiffre d’affaires est voisin de 500 millions de francs
- 1980 : Poursuite d’une politique de diversifications2 :
- industrielle, avec le développement d’activités nouvelles tournées vers l’Industrie spatiale, les Transports et les Télécommunications.
- géographique, avec la création de plusieurs filiales en Europe.
- 1980 : départ à la retraite de Jean Jullien-Davin, M. Champt est nommé Président Directeur Général.
- 1983 : Une série de réorganisations importantes de Thomson-CSF est entreprise en recentrant les activités sur l’électronique professionnelle et militaire.
- 1989 : Le groupe Sextant Avionique est créé avec l’apport de la branche avionique de Crouzet.
- 1990 : la partie terminaux et paiements est vendue à Monetel.
- 1993 : vente de la partie Électroménager.
- 1994 : décès de Jean Jullien-Davin3 cofondateur de l’entreprise d’automatismes Crouzet.
- Juillet 2011 : Michel Pascal, père fondateur de l’anémometrie chez Crouzet, décède à l’âge de 82 ans. Il a été ainsi chargé des relations avec Bendix4 pour la centrale du Concorde, avec Collins pour le capteur. Puis il a œuvré avec Boeing en proposant des prêts de capteur 51 à l’origine des développements de l’activité pression de Thales à Valence. C’est grâce à ses passages dans le New Jersey que le Concorde a été équipé de ses premières centrales Crouzet. Quelques années plus tard c’est Boeing qui accorde sa confiance à Crouzet pour son 777. Devenu Thales, l’entreprise équipe toujours les Boeing comme les Airbus. Michel Pascal y a beaucoup contribué et en a été remercié en se voyant remettre la médaille de l’Aéronautique.
Principaux produits[modifier | modifier le code]
- Contrôleur logique
- Relais temporisés
- Produits de sécurité
- Compteurs et Tachymètres
- Régulateurs de température
Les chiffres clés[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Historique de Crouzet et Sextant Avionique [archive]
- Jean Jullien-Davin, S.A. Crouzet, Association universitaire d’études drômoises, Bulletin N° 1, 1975, En ligne [archive]
- Voir la présentation de Jean Jullien-Davin sur le site du cimetière de Valence [archive]
- Voir Bendix sur Wikipédia anglophone
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Helicopter magazine, August and September 2011. New Horizon for the helicopter’s market, p. 34-35, Helicopter magazine Europe n50. disponible sur : [1], 2011.
- ThomasNetnews.com, January the 1st/2011. Counters and Tachometers : Crouzet Doubles the Size of Its Counter and Tachometer Range, ThomasNetnews.com.
- L’usine Nouvelle, Sylvie Brouillet, 28 septembre 2011. « Crouzet se positionne à Alès comme centre d’expertise moteurs »
- Ville Rail et Transport, Patrick Laval, 3 octobre 2010. « Crouzet nouveaux interrupteurs PBX Secure »
- J’automatise.com, 18 février 2010. Newsletter N°234, News 2851, « Interrupteurs à manœuvre positive chez Crouzet »
- Étude et Réalisation d’une commande moteur pas-à-pas Réalisation de la carte de commande et programmation de la carte PCI4400, Département de Recherche en Électromagnétisme (DRÉ) de Supélec et du L2S (UMR 8506/CNRS–Supélec–UPS), Rapport de stage, Luc Yin, Stage du 7 au 27 juin 2008, P 34
- Comareo, Comité pour l’histoire de l’aéronautique, Un demi siècle d’aéronautique en France, Ouvrage, en deux volumes, coordonné par Jean Carpentier, Préface de l’Ingénieur Général Émile Blanc, Président de Comaréo, Volume I, Ouvrage édité par le Département d’histoire de l’armement du Centre des hautes études de l’armement, 2004, p 32
- lesavionslegendaires.net, « Historique du Aérospaciale SA 342 Gazelle », Fiche
- zoneindustrie.com, actualités, produits, informatique industrielle, « contrôleur logique millenium 3 crouzet », 6 avril 2010
- zoneindustrie.com, actualités, hydraulique, mécanique, pneumatique, « Crouzet propose 5 nouvelles tailles de moteurs brushless et 2 nouveaux, réducteurs », 3 mai 2010
- Le Moniteur, Jean-Charles Guézel, 18 mars 2011. Une chaudière électrique ionique, p. 42, Weekly press, Paris, OJD 45460.
- Option Finance, Marion Kindermans, 23 mai 2011. Comment travaillent les directeurs financiers du secteur aéronautique civile, p. 24, Weekly press, Paris.
- Air & Cosmos, Magali Rebeaud, 10 juin 2011. Crouzet contribue au « plus électrique » et au « plus vert », Weekly press, Paris, OJD 19016.
- Friedman, Norman (1997.) « The Naval Institute guide to world naval weapons systems, 1997-1998. » U.S. Naval Institute. ISBN 1-55750-268-4